Ce calvaire monumental repose sur un socle cubique puis pyramidal. Le croisillon est sans figuration. Ce dernier est érigé dans le cimetière, devant l’entrée de la chapelle. Un reposoir permet d’accueillir le cercueil du défunt avant l’entrée dans la chapelle Saint-André, qui est du XIIe siècle. On y célèbre encore une fois par an le jour de Marie.
Source : Irène et Yves Deluchat, Claude Royère