Saint Dizier : la commune s'est appelé successivement Ecclesia sancti Desiderii vers 1085, Capellanus sancti Desiderii XIVe siècle, Saint-Didier puis Saint-Dizier-prés-Peyrusse 1770. Elle s'est momentanément appelé "Dizier" en 1793 pour suivre le mouvement anti-clérical très vif sur le territoire. En 1909, la municipalité décide d'accoler "l'Eyrenne" par rapport à la rivière et de manière à se différencier des deux autres Saint-Dizier creusois (la Tour et les Domaines). Une occupation gauloise est plus que probable, une hache en bronze a d'ailleurs été retrouvée sur le territoire ainsi que de nombreux éléments se rapportant à l'époque gallo-romaine. Un ensemble d´excavations intitulé "camp de César" a été découvert en 1868. Des mines aurifères au hameau de Forgeas ont été exploitées au début du XIXe siècle. On peut encore voir le café des mineurs, proche du site. À cette époque, le terrain est acheté par un industriel Allemand. La commune connut un fort dynamisme au XIXe siècle et début XXe siècle. Masbaraud-Mérignat : des traces retrouvées sur la commune attestent une occupation ancienne. Deux haches du néolithique ont été découvertes. Peu de traces de l´histoire de Masbaraud existent, et ce, jusqu´à la construction de châteaux de Mérignat. Cet édifice est toujours existant. Des moines trappistes s´y installèrent pendant quelques années, apportant avec eux de nouvelles techniques agricoles. L´église communale s´y trouve. La forêt de Mérignat date au moins du XIVe siècle.
Ces deux communes n’en font plus qu’une depuis décembre 2018.
Source : wikipedia.org, Marc Parottin, google.com, Mairie de Saint Dizier Masbaraud, Claude Royère
Remerciements :
Joël Royère
Gérard Vallaud
Serge et Julien Maisonniaud
Jean-Claude et Paulette Thomas
André Mériguet
Marie Marcepoil
Réjane et Guy Dieu
Andrée Chambraud
Jean-Pierre Liraud
Jacques Pelège