Cette croix simple en bois est érigée dans un socle cubique en granit, en bordure d’un chemin creux, à la limite des communes de Lupersat et de Sermur. Son nom proviendrait des parcelles de terrain environnantes. Elle a été refaite par Jean-Pierre Cabrit. Selon une autre version, un maçon migrant aurait été assassiné et dépouillé de l’argent qu’il avait gagné à Paris en ce lieu, et cette croix aurait été érigée en sa mémoire.
Source : Jean Brunet, Jean-Michel Soulebot, Claude Royère