Cette croix, initialement en bois, a été refaite en fer forgé plat, avec des extrémités aux formes géométriques. Le socle monolithe, en réalité le dessus d’un autel gallo-romain retourné et christianisé, présente une corniche sculptée sur ses quatre côtés, sans indication de millésime. Cette croix est également connue localement sous le nom simple de « la croix ». Elle est protégée par un tilleul planté en 1945.
Source : Michel Bruniquel, Claude Royère