
Voici comment ce lieu a été nommé aux siècles passés : Ecclesia sancti Leodegarii in castellania Drulensi en 1097, Sainct Legier en 1363 et 1472, Capellanus sancti Leodegarii au XIVᵉ siècle, Paroisse de Saint Léger Drullheys et Saint Legier drulheys en 1424, Parrochia sancti Leogarii Drulliensis en 1425. Saint-Léger-le-Guérétois était un prieuré-cure relevant de l’ancien archiprêtré de Bénévent. Antoine Taquenet, prieur de Saint-Léger-le-Guérétois, fit don par testament, en août 1638, de 300 livres, d’un lit garni et de ses habits. Entre 1098 et 1100, Guillaume d’Uriel, évêque, donna l’église de Saint-Léger à l’abbaye de Bénévent. Les Pierres Civières tirent leur nom de leur forme particulière. Cet énorme chaos de boules granitiques a été laissé intact par les tailleurs de pierre, et le site est aujourd’hui classé. L’histoire rapporte que, sous Napoléon, ces rochers servirent de refuge à des paysans cherchant à échapper à la campagne de Russie. Depuis la table d’orientation, on jouit d’un splendide panorama sur les environs.
Source : ikeos.net, André Lecler dictionnaire de la Creuse, Claude Royère
Remerciements :
Patrick Rougeot
Michel villejoubert