Cette croix, qui paraît très ancienne, a été cassée par une épareuse. Je l’ai découverte, enfouie dans les ronces et les branchages, en face de la chapelle des Templiers. Elle était insérée dans un énorme socle cubique, posé sur un mur en pierre. Le fût, aux arêtes rabattues, est magnifiquement travaillé à sa base, mais le croisillon a disparu.
Source : Arnaud Tarrade, Claude Royère