Ces deux petites croix sont visibles, incluses dans le mur du cimetière, mais leur présence relève plutôt d’un réemploi, par le maçon, de croix délaissées de l’ancien cimetière. Une croix latine avec son socle curviligne incorporé, l’autre tréflée et recroisetée en creux sur l’avers.
Source : Claude Royère