Cette croix, recroisetée sur l’avers, est en granit. Elle est scellée dans un socle rectangulaire, au pied duquel on aperçoit le fût. Bien qu’ayant subi les dégâts causés par une broyeuse, elle est actuellement en cours de restauration. Cette mystérieuse croix porte le nom de Laqua, issu du patois « lacoua » ou « la couas », qui peut se traduire par « la queue » ou « les queues », mais aussi par le terme « couvé » signifiant « couas ». Elle est située dans un talus, sur la route de Glénic en direction de la croix de Villely.
Source : Gérard Gasnet, Claude Royère