Cette croix est partiellement cassée, il ne subsiste qu’un socle de forme pyramidale ainsi qu’un croisillon avec seulement deux bras. Simone Maucourant, 91 ans, raconte le 1er décembre 2021 : « Je ne me souviens plus de son emplacement d’origine. C’est Albert, mon mari, qui l’a récupérée lors des travaux de remembrement, car elle allait disparaître. Il l’a d’abord insérée dans un mur, puis, à la retraite, il l’a placée dans le pré afin de la protéger. »
Source : Simone et Jean-Luc Maucourant, Claude Royère