De cette croix qui était en granit, il ne reste qu’un fût, avec une petite niche qui devait posséder une statuette disparue en 2024. A la base de ce fût une protubérance, qui fait penser à un dais. Le socle monolithe est paré aux angles d’un large chanfrein. Le croisillon avec son christ en croix rustre, a été mis en sécurité à la mairie, il attend sa restauration en 2024.
Source : Denise Giraud Lajoie, Claude Royère