Cette croix en granit, dont il ne reste aujourd’hui qu’un moignon, devait être monumentale. Elle était érigée sur un haut socle cubique, situé à un carrefour de chemins au centre du lieu-dit. Vers les années 1960, elle a été cassée accidentellement par un boulanger lors d’une fausse manœuvre. Elle n’a jamais été restaurée. À la base du socle, une sculpture semble représenter une petite chapelle, témoignant peut-être de la fonction religieuse et symbolique de ce monument.
Source : Jean Michaud, Claude Royère