Cette croix, réalisée en bois, est insérée dans un petit socle en granit. Elle se dresse au sommet du lieu-dit, marquant le paysage environnant. Selon la tradition orale, transmise par les anciens du village, la nature du matériau employé reflétait autrefois les moyens des communautés rurales, les villages modestes se contentaient de croix en bois, plus faciles et moins coûteuses à ériger, tandis que les villages plus aisés pouvaient financer l’installation de croix en granit, plus durables et prestigieuses.
Source : Claude Royère