De cette croix, autrefois en fer forgé, il ne reste aujourd’hui que le socle, probablement originaire d’une autre région, car il est en pierre calcaire. Sur le revers, on aperçoit l’emplacement en creux d’une porcelaine disparue, suggérant qu’il pourrait s’agir d’une ancienne croix de cimetière.
Source : Colette et Robert Glomeau, Claude Royère