Cette croix était à l’origine encastrée dans le sol de l’église. Celle présentée ci-dessous est ornée d’un nimbe crucifère. En 1862, Roy de Pierrefitte décrit le site et les vestiges visibles et constate que, de l’église fondée en 1120, il ne subsiste qu’une masure de quelques mètres de hauteur, correspondant au sanctuaire et à l’un des bras de la croix.
Source : Saskia et Martijn Zandvliet-Breteler, Claude Royère