De la croix primitive, jadis érigée en bois, ne demeure qu’un fût élancé en granit, dont le sommet a été arasé sur la face antérieure. Ce vestige, simple mais imposant, garde encore la mémoire de l’ancien monument. Il se dresse au cœur du lieu-dit, à l’entrée d’un champ, et domine la vallée de la Tardes.
Source : Claude Royère