Cette croix avec socle est gravée sur le linteau de la porte d’entrée d’une maison du lieu-dit. Elle témoigne d’une tradition de protection des habitations, où la croix gravée servait à bénir le foyer et ses occupants. De chaque côté, deux écussons dépourvus d’inscription sont visibles. Il est possible qu’il s’agisse d’une pierre de réemploi, provenant d’un monument ou d’un édifice ancien. Ces éléments, bien que silencieux, rappellent le lien entre patrimoine domestique et pratique religieuse.
Source : Claude Royère