Cette croix latine en granit, aux arêtes soigneusement chanfreinées, est insérée dans un bloc de pierre de forme cubique qui lui sert de socle. Sobre dans son apparence, elle ne porte aucune figuration, si ce n’est un millésime gravé : 1832. Elle se dresse devant l’une des entrées du cimetière du bourg, marquant à la fois le seuil du lieu de repos des défunts et le passage symbolique vers l’au-delà.
Source : Claude Royère