Cette croix fleurdelisée en fonte ajourée ne conserve plus que deux de ses rayons lumineux, les deux autres ayant disparu. Le roseau, représenté par ses branches brisées, est encadré de deux anges en oraison. La base est ornée d’un feston en queue de mouton. L’ensemble repose sur une pierre brute faisant office de socle, elle-même posée sur le mur d’une propriété privée.
Source : Claude Royère