Cette croix se trouvait autrefois au centre d’un champ, à proximité du dolmen de Puy l’Épine. Le 14 juin 2020, Maxime Lacour, alors âgé de 84 ans, témoigne : « Cette croix, je l’ai connue en bois. Comme elle me gênait pour travailler la terre, une pelleteuse l’a transportée dans la forêt. Je suis allé la chercher et je l’ai mise en sécurité sur ma propriété. » En 2020, il ne subsiste que le socle, dont la forme pourrait évoquer une ancienne mesure de capacité.
Source : Maxime Lacour, Claude Royère