De cette croix, il ne subsiste aujourd’hui qu’un énorme bloc monolithe en granit. La mortaise a été bouchée au ciment, et quatre cupules sont creusées autour du bloc. Celles-ci servaient à déposer des bougies lors des décès dans ce lieu-dit. La tradition orale évoque l’existence d’un ancien prieuré dans le hameau, mais aucune trace archéologique n’a été retrouvée, si ce n’est l’usage de pierres de qualité en réemploi dans certaines maisons.
Source : Joëlle Marceau, Claude Royère