Cette croix pommetée et chanfreinée est en bois. Quatre bras de force la renforcent et la décorent. Elle est érigée sur un socle en maçonnerie traditionnelle, lui-même posé sur une dalle de granit. Claude Guillon raconte, le 15 juin 2025 : « J’ai toujours connu cette croix, car c’était un lieu de passage pour aller à l’école à pied. Il fallait traverser le ruisseau sur un pont-planche réalisé par les habitants du hameau. Ce pont s’appelait la “planche aux pèlerins, car c’était le chemin emprunté par les pèlerins de Saint-Jacques-de-Compostelle. Avec le temps, ce nom a été transformé en « planche de Perrin. »
Source : Claude Guillon, Claude Royère