Cette fragmentaire partie d’un croisillon de croix latine est intégrée en réemploi dans un mur de grange à Saint-Priest-Palus. L’origine de ce vestige reste inconnue, mais son style laisse supposer qu’il provient d’un ancien édifice religieux ou d’un monument ancien aujourd’hui disparu. Ce réemploi témoigne des pratiques courantes consistant à recycler des éléments sculptés dans la construction locale, assurant ainsi la pérennité matérielle de ces fragments historiques.

Source : Patrick Trousset, Claude Royère